Dimitri pratique la photographie.

Bruxellois d’origine, il est né en 1966.

Il a fait la connaissance de Bousval lors de randonnées pédestres ou à vélo et, appréciant le charme des lieux, il s’y est installé en 1999.

Dimitri est un enseignant motivé, engagé, et sa passion, c’est la photo, l’observation de la nature ; l’ornithologie l’inspire plus particulièrement.

Il est l’auteur d’un bel ouvrage : « Rivières – L’Ardenne d’une rive à l’autre », paru en 2012 aux éditions Weyrich.

Il aime aussi la marche, l’escalade aux Rochers de Freyr, dans les Dolomites, dans les Alpes où il a rencontré sa femme.

Point n’est besoin d’aller loin pour faire de belles découvertes : en quelques coups de pédale sur le RAVeL, armé de son Nikon, Dimitri gagne les bassins de l’ancienne sucrerie de Genappe, une des plus grandes réserves naturelles du pays (https://www.environnement-dyle.be/la-reserve).

Tanguy Dumortier y a d’ailleurs consacré un reportage pour « Le Jardin extraordinaire » et, à cette occasion, c’est Dimitri qui lui a servi de guide.

Dans ce lieu, il découvre une biodiversité étonnante, à l’affût des moments magiques que son appareil peut capter, des jeux de vie et de lumière qui lui procurent bien des émotions, qui nourrissent son important répertoire photo.

Avec Quentin Van Belle, il améliore le relevé ornithologique des lieux.

Il n’est pas étonnant que Dimitri soit devenu un défenseur militant de ce milieu naturel.

Il fait ainsi partie du comité de gestion de l’association « Environnement Dyle » présidée par Michèle Fourny.

J’ai eu plaisir à réaliser cet interview qui m’a permis de connaitre mieux ce photographe généreux et passionnant. Nous le retrouverons lors de la 52e expo de la Saint-Barthélemy.

SHE