Dans le Bousvalien, les Amis de Bousval abordent régulièrement la question de la sécurité routière dans le village et, plus particulièrement, celle de la vitesse excessive de certain.es automobilistes.
Le groupe Facebook « Les Amis de Bousval » s’en fait aussi l’écho de manière récurrente.
Début février encore y ont été rapportés deux accidents survenus à deux jours d’intervalle à la rue du Try-au-Chêne https://www.facebook.com/groups/135506619858654/permalink/9168805629861996/.
Bien d’autres rues font également l’objet de signalements fréquents : rue du Point du Jour, rue Fond des Bois, ancien Chemin de Wavre, rues du Domaine de La Motte (y compris Limauges), et même, d’une façon inattendue, des rues comme celle de la Forge … Nous ne les citerons pas toutes mais la plupart de nos rues sont peu ou prou concernées par ce que l’on peut appeler un problème, aux conséquences potentiellement graves, que le hasard a permis d’éviter jusqu’ici.
Comme tous les intervenants de notre groupe Facebook, nous demandons à l’échevin responsable de la mobilité de prendre les dispositions nécessaires pour limiter les excès.
Chacune de ces dispositions, chaque dispositif, comporte un coût, des avantages, des inconvénients.
Il importe donc d’en faire une évaluation systématique.

Nous prônons depuis longtemps l’application de la limitation à 30 km/h sur les routes qui traversent ou parcourent le village. Mesure « radicale » qui fait ses preuves au centre de Genappe : moins de bruit, de stress et d’anxiété, plus de calme et de sérénité.
Certains invoquent la perte de temps si l’on passe de 50 km/h à 30 km/h, mais cet argument ne tient pas sur les petites distances où la différence se mesure en secondes !
D’autres s’imaginent démontrer leur virilité en poussant sur le champignon et prétendent se défouler en se grisant de vitesse, mais ces « raisonnements » ne sont pas admissibles car ils sont synonymes de danger pour la vie et l’intégrité physique de chacune, de chacun d’entre nous. Le besoin de défoulement est bien réel dans nos vies parfois survoltées, mais il peut être assouvi par d’autres moyens accessibles dans notre localité : yoga, centres de bien-être, sports comme le jogging (Cross de Bousval) ou la marche dans nos campagnes, et même psychiatre, comme le suggéreront les plus malicieux d’entre nous.